Comment créer sa vie de rêve en vivant la semaine de 4 heures, avec Kamal

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Transcription texte de l’interview :

Olivier Roland : Marocain, il décide un peu sur un coup de tête de partir faire des études dans un pays complètement inconnu : la Pologne.

Kamal Jahid : Et je voulais un peu en quelque sorte une sorte de challenge, un défi. Un pays qui me challenge un peu, qui me pousse à sortir de ma zone de confort.

Olivier Roland : Oùlors d’un stage, il découvre le blogging, ce qui le décide à créer un blog qui parle d’un besoin naturel : la séduction.

Kamal Jahid : Moi, je ne savais pas comment aborder une fille. Je voulais parler, je voulais avoir une copine, mais je n’avais pas les outils, je n’avais pas les techniques, etc.

Olivier Roland : Très vite, son entreprise cartonne.

Kamal Jahid : Je me rappelle très bien. Donc, le premier ebook pour homme que j’ai fait, ça s’appelle« Les neuf éléments de la séduction », j’ai généré 10 000 € en une semaine.

Olivier Roland : Et suite à une rencontre un peu particulière.

Kamal Jahid : J’aborde cette fille et au moment d’essayer de prononcer le premier mot, elle me dit « Écoute, je ne parle pas au mec qui vend des kebabs ».

Olivier Roland : Il se lance dans une nouvelle aventure.

Kamal Jahid : J’ai monté mon deuxième business « Glamorous Pochette » et c’était grâce à ça, grâce au style.

Olivier Roland : Qui booste encore plus son business.

Kamal Jahid : On tournait entre 250 et 300 000 € par an.

Olivier Roland : Il lance ensuite « Meqnes », sa marque de vêtements.

Kamal Jahid : Il fallait allouer le budget ici pour le Moyen-Orient, non les États-Unis. C’était très excitant. Je jonglais avec le budget et je me faisais tellement d’argent.

Olivier Roland : Et en parallèle, il cultive une vie sociale très épanouie.

Kamal Jahid : Si on commence par créer ou bien développer un cercle social, un network qui va un peu en quelque sorte bosser pour toi, c’est plus facile d’avoir les résultats qu’on aimerait bien avoir. Pour moi, tout simplement, j’ai réussi à créer et à tisser des liens avec des gens importants, des gens intéressants. Et parce que moi, quand j’ai débarqué ici, mon objectif, c’était de m’intégrer à la société, de respecter leur culture, etc. Et je pense que les gens ici, ils ont apprécié mon ouverture d’esprit.

Olivier Roland : Tout en vivant le style de vie de la Semaine de 4 heures.

Kamal Jahid : L’idée de : il faut bosser, il faut se tuer pour faire, pour générer de l’argent, pour moi, c’est con. Donc, si lundi par exemple, tu n’as pas envie de bosser, tu ne bosses pas. D’accord.

Olivier Roland : J’ai eu l’occasion d’être plusieurs jours à Varsovie avec Kamal, et je peux vous le dire, il est vraiment célèbre dans cette ville. Il est régulièrement salué dans la rue et est invité dans toutes les soirées où il faut être. Il a, à côté de cela, une entreprise au service de sa vie qui lui permet de gagner confortablement sa vie tout en n’ayant pas beaucoup d’heures à faire. Et nous allons voir dans cette vidéo comment il a fait et comment vous pouvez le faire aussi.

Dans cette interview, nous verrons aussi :

  • Comment créer et développer un business en parallèle de vos études ?
  • Le parallèle entre la séduction et l’entrepreneuriat
  • Comment gérer un bad buzz et s’en relever ?
  • Comment créer une marque de vêtements 100% en ligne qui cartonne ?
  • Comment trouver des investisseurs et passer à la télé ?
  • Comment construire un cercle social puissant qui travaille pour vous ?
  • Comment mêler bonheur et ambition en automatisant son entreprise ?

Et bien d’autres choses encore.

C’est parti.

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Être un Bisounours et gagner des millions – mode d’emploi avec Yannick Alain

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Transcription texte de l’interview :

Olivier Roland : Yannick Alain a eu un parcours scolaire pour le moins singulier et pas dans le bon sens du terme.

Yannick Alain : Tu sais, tu as ton bulletin qui parle. Donc, moi, j’étais nul en maths, nul en français, nul en géographie, nul en sport.

Olivier Roland : Ah oui, à ce point-là ?

Yannick Alain : Ah vraiment. J’étais vraiment nul en tout.

Olivier Roland : À l’âge de 22 ans, il a fait un travail alimentaire qu’il détestait à cause notamment des méthodes douteuses employées par son patron, qui l’a même menacé physiquement.

Yannick Alain : Il m’a dit « vous êtes la honte de ce métier, vous êtes un bisounours, vous n’arriverez jamais à rien dans la vie ». Il m’invente des trucs, mais j’avais 22 ans. Tu es hyper influençable à 22 ans.

Olivier Roland : Après cette mauvaise expérience, il collabore avec plusieurs multinationales.

Yannick Alain : Je travaillais dans le monde du high-tech et je travaillais pour Orange, Toshiba, Microsoft, toutes ces grosses boîtes qui me faisaient rêver.

Olivier Roland : Mais il ne se sent pas à sa place et sent qu’il est appelé à vivre sa propre aventure.

Yannick Alain : Je sens que je suis de plus en plus à l’étroit dans le poste dans lequel je suis.

Olivier Roland : Et c’est alors qu’il a un accident.

Yannick Alain : Et là, je me casse la jambe. Je suis obligé de m’arrêter pendant quatre mois.

Olivier Roland : Il en profite pour quitter l’entreprise pour laquelle il travaillait et se retrouve de nouveau au chômage. Il décide de faire quitte ou double et investit entre 20 000 et 25 000 euros dans diverses formations pour devenir entrepreneur.

Yannick Alain : Je mets 20 000 euros, 25 000 euros à l’époque cette année-là dans des formations diverses et variées. Je vais à tous les séminaires.

suivre des séminaires

Olivier Roland : Ah oui. En plus, c’est ton argent personnel. Tu étais toujours directeur commercial.

Yannick Alain : Non, j’ai démissionné.

Olivier Roland : Après s’être lancé sur le web et conscient de ses limites, il décide de s’associer avec un grand nom du développement personnel.

Yannick Alain : Et comme je pense que je ne suis pas le meilleur, je me dis « associe-toi avec quelqu’un qui est le meilleur en développement personnel, en neurosciences, en tout ça. » Et là, à ce moment-là, je rencontre David Lefrançois grâce à Martin.

Olivier Roland : Et ça cartonne, car les deux partenaires font 700 000 euros de ventes à leur premier lancement de produit.

Yannick Alain : On lance et on fait 700 000 euros avec ce premier lancement.

Olivier Roland : Et enchainent ensuite les lancements à succès.

Yannick Alain : On a fait 1.6 million.

Olivier Roland : C’est beau.

Dans cette interview, nous verrons :

  • Comment passer d’un boulot alimentaire horrible à une entreprise que vous avez créée et qui est parfaitement alignée avec vos valeurs ?
  • Comment pallier ces insuffisances en s’associant ?
  • Comment s’associer avec un des meilleurs d’un domaine alors qu’on est un nobody ?
  • Savoir quand il faut investir en soi pour passer au niveau suivant ?
  • Comment devenir un excellent vendeur même quand on est timide ?
  • Comment évoluer vers son but malgré les difficultés ?
  • Comment mettre son business au service de sa vie ?

Et bien d’autres choses encore.

C’est parti !

<Générique>

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2 ans de tour du monde sans avion, sans valise et sans hôtel – en devenant entrepreneur à succès

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Transcription texte de l’interview :

Olivier Roland : Il a raté sa prépa.

Steven Herteleer : Et là, je le vis évidemment très mal. 2/20, tu as vraiment l’impression d’être… Enfin, 2, c’est nul ! Ce n’est même pas terrible, c’est : tu es un débile.

Olivier Roland : Il choisit son cursus à la faculté au hasard, il crée des produits qui ont fait gagner beaucoup d’argent à de grandes entreprises.

Steven Herteleer : J’avais créé un produit qui est devenu un best-seller, qui a fait des dizaines de millions d’euros chez L’Oréal.

Olivier Roland : Il a vécu un moment difficile avec sa mère alors qu’elle était atteinte d’une maladie grave.

Steven Herteleer : Je me rappelle de ce que ma mère me dit. Elle m’a dit « j’ai raté ma vie ».

Olivier Roland : Il est allé au Mali le lendemain de son enterrement, ce qui lui a permis de prendre beaucoup de recul.

Steven Herteleer : ça a changé complètement ma vision. Je me suis dit « mais pourquoi il me demande cela ? » Alors, sûrement un peu de la conversation, il ne savait pas trop quoi dire, mais aussi une philosophie de toute l’Afrique.

Olivier Roland : À son retour, il décide de démissionner d’un boulot très bien payé à L’Oréal et devient photographe, ce qui lui permet d’accumuler 10 000 euros qu’il va utiliser pour accomplir son rêve : faire le tour du monde. Oui, mais pas n’importe comment, en suivant plusieurs règles dont les suivantes : 1ère règle : sans prendre l’avion, 2ème règle : sans dépenser un seul euro dans l’hébergement, et 3ème règle ?

Steven Herteleer : C’était sans bagage.

Olivier Roland : What ?

Steven Herteleer : Aucun bagage.

Olivier Roland : D’accord. Tu t’es dit « c’est trop facile de voyager normalement ». Zéro bagage ?

Steven Herteleer : Oui, donc j’avais mon passeport, carte bleue.

Olivier Roland : Mais tu avais un sac quand même.

Steven Herteleer : Non, aucun sac. Pas de fringues de rechange.

Olivier Roland : Un sac banane, même pas ?

Steven Herteleer : Rien du tout. Pas de téléphone.

Olivier Roland : Pas de téléphone ?

Steven Herteleer : Aucun téléphone. Rien du tout.

voyager et faire le tour du monde sans bagage

Olivier Roland : À son retour, cela le conduit à faire des boulots improbables.

Steven Herteleer : Les mecs, je leur ai dit « Qui est chaud pour un tatouage, gratuit ? Ça se passe dans ma cabine », et là, il y en a 2-3, les gros bourrins de la salle des machines, genre moi, je suis chaud et tout. Et j’avais un petit carnet où j’avais fait des dessins parce que j’avais fait 10 ans de dessins de mes 10 à 20 ans. Donc, j’avais plein de dessins. En gros, je peux vous faire cela. Et les mecs passaient dans ma cabine et ils choisissaient leurs dessins, et je leur faisais. Mais je n’avais jamais tatoué. Et puis, je ne savais pas à quel point c’était dur de tatouer.

Olivier Roland : Et même à prendre une photo de François Hollande.

Steven Herteleer : En effet, j’ai shooté François Hollande dans son bureau.

Olivier Roland : Il finit par lancer un business sur le web, et après moult péripéties, il cartonne.

Steven Herteleer : Cela m’a sauvé. Cela m’a complètement sauvé. C’est-à-dire que ça m’a redonné 6 mois d’oxygène, cela m’a payé tout. Alors, j’ai gagné 150 000 euros sur ce lancement-là.

Olivier Roland : Cette vidéo est une conversation avec Steven Herteleer, photographe, entrepreneur, marketeur, grand voyageur. C’est une longue conversation, la plus longue jusqu’à présent dans ce podcast. Mais honnêtement, elle m’a semblé trop courte, plutôt comme l’introduction d’un prochain épisode, tant elle était passionnante.

Je vous recommande de vous y plonger en la savourant comme j’ai pu la savourer, et n’hésitez pas à l’accélérer si besoin. Puis, une fois que vous l’aurez écoutée, dites-moi si comme moi, cela vous semble aussi comme l’intro d’une prochaine vidéo. C’est parti.

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L’entrepreneur à succès qui ne fait RIEN comme tout le monde (Romain Collignon)

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Transcription texte de l’interview :

Olivier Roland : Romain est ingénieur physicien en nanotechnologies, et son métier actuel n’a rien à voir avec ce qu’il a étudié. Il voulait en fait devenir entrepreneur, et comme il est également expert en beatbox, il décide de faire de sa passion son premier projet en ligne, qui n’a pas été franchement un grand succès.

Romain Collignon : Pendant trois années où j’ai fait zéro euro.

Olivier Roland : Il décide alors de pivoter et de se lancer dans un tout nouveau business, à côté de son travail pour le gouvernement.

Romain Collignon : J’ai fait 2 ans d’ambassade, et après, j’ai passé 2 ans pour une agence ministérielle de la recherche à Paris.

Olivier Roland : Une épreuve difficile, dans laquelle il a su prioriser son succès futur plutôt que le plaisir à court terme.

Romain Collignon : Je me levais à 5h du mat pour bosser jusqu’à 9h. J’étais passionné, et puis finalement, il faut aussi, je pense, mettre l’énergie pour ça.

Olivier Roland : Tu te couchais à quelle heure ?

Romain Collignon : Je ne dormais pas beaucoup à l’époque, je ne pense pas, parce que le midi, je travaillais aussi dessus. J’étais un peu le gars où tout le monde allait bouffer à la cafétéria, et moi, j’étais celui qui a bouffé vite fait à la cafétéria pour pouvoir taffer sur le temps de midi.

Olivier Roland : Ce qui a fini par payer, puisqu’il gagne l’équivalent d’un an de salaire en une semaine à la sortie de son premier produit.

Romain Collignon : Salaire net, je devais être à 2 000 par mois. Donc à l’intervalle, pour moi, cela faisait 24 000 par an là où j’étais, et un lancement de 30 000.

Olivier Roland : Boum.

Romain Collignon : Oui, mais ça fait boum.

Olivier Roland : Oui.

Romain Collignon : Ça fait boum quand tu vois…

Olivier Roland : Donc, tu as sauté au plafond.

Il développe ensuite son business jusqu’à atteindre un très beau chiffre d’affaires, mais travaille trop.

Tu travailles combien d’heures par semaine à peu près dedans ?

Romain Collignon : Trop.

Olivier Roland : Ah oui, OK, trop.

Romain Collignon : À l’époque, trop.

Olivier Roland : Et décide d’automatiser complètement son entreprise.

Romain Collignon : Et donc, j’ai tout automatisé. Et pour te dire, le décodeur a fonctionné pendant six années. Au fur et à mesure, le chiffre d’affaires diminue quand tu ne mets pas d’énergie dedans.

Olivier Roland : Parce que tu ne crées pas de contenu ?

Romain Collignon : Depuis 6 ans, je ne créais plus rien.

Olivier Roland : Cela fonctionne très bien, mais il a un problème.

Romain Collignon : Malgré le fait d’avoir ce business en ligne, j’étais relativement seul. Je me sentais seul. Et on parlait de salariat tout à l’heure, il y a quand même ce côté connexion que j’avais complètement perdu.

Olivier Roland : Et il décide de changer, à nouveau, complètement de business et d’approche. Un pari osé qu’il réussit avec brio, puisqu’il multiplie par plus de 10 son chiffre d’affaires en quelques années seulement.

Romain Collignon : Ouais, là, on a terminé à un 1,5 million cette année.

Olivier Roland : Donc, c’est tout à fait un plus de fois 10 par rapport à Décodeur du non-verbal.

Dans cette conversation avec Romain Collignon, nous parlons également de :

  • Comment dépasser ses peurs pour démarrer son entreprise
  • Comment trouver une idée de business rentable
  • Comment passer de salarié à entrepreneur, et trouver sa raison d’être
  • Comment vendre un produit avant de l’avoir créé, tout en étant éthique et transparent sur le sujet
  • Comment pivoter son business modèle jusqu’à trouver le bon, tout en gardant son enthousiasme
  • Comment scaler votre business sans vous tuer à la tâche
  • La beauté de la routine pour être plus performant et plus heureux (même si sur ce point, nous ne sommes pas d’accord)
  • Pourquoi les membres de l’équipe de Romain parlent anglais dans leur réunion, alors qu’ils sont tous francophones
  • Et bien d’autres choses encore.

C’est parti.

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De SDF à 10 millions par an : comment gagner avec de mauvaises cartes, avec Anthony Bourbon

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Olivier Roland : Il a fait partie du panel d’investisseurs de la célèbre émission de télé « Qui veut être mon associé ? » sur M6. Il a fait passer son entreprise Feed de 0 à 10 millions d’euros de ventes en moins de 3 ans. Anthony Bourbon a pourtant vécu un traumatisme tôt dans sa vie.

Anthony Bourbon : Je me retrouve à la rue quand j’ai 16 ans et je dors dans les bus. Aujourd’hui, je n’ai vraiment aucun problème d’argent.

Olivier Roland : Ce qui lui a appris la vie à la dure.

Anthony Bourbon : Je me suis dit voilà « tu as 500 €, il va falloir les rationner », comme je disais à l’époque. Et donc, une fois, je dormais dans les bus, une fois, je dormais chez un pote, une fois, je dormais dans un hôtel miteux à 20 € la nuit.

Olivier Roland : Au point qu’il dit lui-même…

Anthony Bourbon : Ouais, on peut dire que j’étais SDF.

Olivier Roland : Alors, il aurait pu se laisser abattre, mais il a décidé de prendre cette expérience de manière positive et de l’utiliser comme source d’énergie pour se lancer dans l’entrepreneuriat.

Anthony Bourbon : Parce qu’il y a une envie de revanche, de vengeance qui est assez forte. Et je pense que ça se sent quand on regarde les différentes interviews, quand on lit les différents articles ou quand on regarde nos réseaux sociaux. J’ai envie de bousculer le système.

Olivier Roland : Et même si aujourd’hui Feed est un succès éclatant, cette aventure entrepreneuriale connaît des hauts…

Anthony Bourbon : Et du coup, on a une réussite ou en tout cas un parcours qui est assez explosif en mode startup parce qu’on a levé plus de 40 millions d’euros, on a ouvert 5000 points de vente.

Olivier Roland : … Comme des bas.

Anthony Bourbon : On était 80 à un moment et là, on est redescendu à 35 – 40.

Olivier Roland : Et tu vas pouvoir découvrir tout au long de cette interview la ténacité impressionnante d’Anthony, sa rage de vaincre et son énergie qui est au top.

transformer son énergie en tremplin, rage de vaincre

Nous verrons aussi :

–       Comment transformer un environnement défavorable en tremplin

–       Comment trouver l’avantage injuste caché en toi qui va te permettre de réussir mieux que tes concurrents

–       Comment avoir l’idée de ton entreprise et la lancer en un mois chrono

–       Comment réussir la levée de fonds pour ta startup

–       Comment faire de l’argent un bon serviteur, plutôt qu’il soit ton maître

–       Comment garder l’énergie et la motivation dans les moments difficiles (et il y en aura)

–       Comment investir intelligemment dans les cryptos et le web 3

–       Des actions quotidiennes simples que tu peux faire pour tirer ton épingle du jeu

–       Et bien d’autres choses encore.

C’est parti.

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Voyager pendant 7 ans avec 800 € par mois : la méthode

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Olivier Roland : Professeur dans l’éducation nationale, Caroline déménage à Seattle pour être plus près de l’amour de sa vie. Quand ce couple se sépare, plutôt que de sombrer dans la dépression, elle décide de réaliser son rêve : faire le tour du monde.

Caroline : En fait, c’est ce qui m’a aidé un peu à me propulser du fond de la piscine quand je me sentais descendre et être dans ma tristesse. Je me suis dit « un rêve vient de s’éteindre, il va falloir que tu te fasses, que tu allumes un nouveau rêve ».

Olivier Roland : C’est une belle philosophie cela.

Caroline : Et j’avais ce rêve depuis que j’étais ado, depuis que j’avais 16-17 ans, de faire le tour du monde et je me suis dit « c’est le moment ».

Olivier Roland : Alors que, comme elle le dit elle-même, elle est quelqu’un « d’assez peureux ».

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Arnaqué, il perd sa fortune… et la reconstruit en deux mois (et comment créer des revenus passifs)

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Olivier Roland : Il était un entrepreneur à succès, et quand il était au sommet, il s’est fait carrément arnaquer.

Jean-Luc Monteagudo : On m’a eu de par ma cupidité. C’est ma cupidité qui m’a motivé à me faire escroquer en fait. Et d’ailleurs, c’est comme cela qu’on a les gens, tu vois.

Olivier Roland : Au point de se retrouver surendetté.

Jean-Luc Monteagudo : J’étais surendetté parce qu’il a vendu en mon nom des choses et je n’étais même pas au courant.

Olivier Roland : Et pourtant, il a pardonné à son escroc.

Jean-Luc Monteagudo : Je vais être dans l’énergie du pardon. Je ne veux avoir vraiment aucune haine, aucune pensée face à cela. Donc, oui, je suis allé le retrouver, lui serrer la main et lui dire « je te pardonne », et je suis parti.

Olivier Roland : Et, tenez-vous bien, il a tout récupéré en 2 mois. Il a aujourd’hui revendu ses entreprises, vit de son capital et de ses Royalties, et se consacre à la musique et au fait d’aider son prochain. Il est pourtant parti d’origines modestes. Il a un DUT technique de commercialisation.

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Fabien Olicard, de bac moins 1 à auteur, youtubeur et mentaliste à succès

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Transcription texte de l’interview :

Olivier Roland : Il a raté ses études.

Fabien Olicard : Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études. Moi, j’ai eu cette chance.

Olivier Roland : Et a un bac-1, notamment car il travaillait uniquement les matières qui l’intéressaient et qu’il ne s’est même pas présenté à l’épreuve de rattrapage.

Fabien Olicard : Me voilà au rattrapage, sauf que moi, je bosse ce jour-là et je n’y vais pas. Je me dis « Je le repasserais un jour en candidat libre », puis je ne l’ai jamais fait.

Olivier Roland : Et il a pourtant près de 2 millions d’abonnés sur Youtube, il est un mentaliste reconnu au point d’avoir rempli l’Olympia, a écrit 6 livres qui se sont vendus à plus de 600 000 exemplaires et est un entrepreneur et artiste à succès.

Dans cette interview, Fabien Olicard partage comment avoir le bon mindset pour tracer son propre chemin vers le succès.

Fabien Olicard : En fait, je n’ai pas eu peur de moi, tu vois ce que je veux dire ?

Olivier Roland : Tu n’as pas eu peur de toi. Ok.

Fabien Olicard : Oui. Je n’ai pas eu peur de ne pas trouver de travail. Je n’ai pas eu peur de ne pas savoir m’adapter. Vraiment grâce à ces bouquins, je savais que je n’avais pas appris grand-chose, mais je savais que tout pouvait s’apprendre.

Olivier Roland : Comment voir les échecs comme des expériences amusantes ?

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Le gendarme homme-sirène qui voyage 6 mois par an

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Transcription texte de l’interview

Olivier Roland : Il a vécu le système scolaire comme un enfer.

Alex Haffner : Non, c’était une catastrophe. Je ne me retrouvais absolument pas dans le système scolaire conventionnel, j’étais plutôt mis de côté. C’était très compliqué. C’est une période que j’aime essayer d’oublier.

Olivier Roland : Et était même très fainéant.

Alex Haffner : J’étais très fainéant, c’est-à-dire que je n’étudiais pas.

Olivier Roland : Et s’il est aujourd’hui à la tête de sa petite entreprise, il n’est pas millionnaire pour autant. Pourtant, Alex a aujourd’hui une vie libre, riche et atypique, beaucoup plus que bien des gens qui gagnent plus que lui. Parmi les nombreuses activités qu’il pratique, il est gendarme.

Alex Haffner : Donc, on fait tout ce qui est mission de surveillance générale, police route. Avant, on faisait du transfert de prisonnier. Maintenant, on fait aussi tout ce qui est BGE, c’est-à-dire qu’on fait aussi des patrouilles de nuit par exemple.

Olivier Roland : Hypnotiseur.

Alex Haffner : On fait des spectacles, des séminaires en entreprise sur le lâcher-prise, le bien-être au travail. Alors, je fais un peu de thérapie et ma spécialité, c’est retirer les phobies, gestion de stress post-traumatique pas forcément par l’hypnose uniquement en fait, par l’EMDR, la PNL.

Olivier Roland : Il a créé sa propre association caritative.

Alex Haffner : Simplement, moi, je fais des spectacles dans des orphelinats. On fait des spectacles de magie et de sculpture sur ballon. En fait, moi, ce qui me plait, c’est non seulement donner des étoiles dans les yeux, mais derrière, il y a aussi un contexte un peu psychologique.

Olivier Roland : Il voyage énormément comme un aventurier des temps modernes et il a même participé au concours de Mister Triton.

Comment a-t-il fait pour passer d’un simple BTS technico-commercial à une telle vie d’aventure ? C’est ce que nous allons découvrir dans cette interview.

Nous verrons aussi :

  • Comment vous créer des opportunités dans la vie même avec des circonstances de départ défavorables
  • Comment optimiser tous les aspects de votre vie pour qu’elle soit au service de vos objectifs.
  • Comment créer une petite entreprise qui vous laisse le temps
  • Comment faire des choses qui semblent extraordinaires aux autres sans vous stresser, petit pas par petit pas

Bref, comment faire de la vie une aventure même avec peu d’argent et bien d’autres choses.

Alors, juste une petite parenthèse, si vous écoutez cette interview au format audio, je vous encourage à aller jeter un œil à la vidéo sur la chaîne des rebelles intelligents, non seulement pour découvrir l’appartement d’Alex qui est visuellement intéressant, mais surtout car nous y avons ajouté de nombreuses photos et vidéos des aventures d’Alex. C’est parti.

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Des Assedics à 8 millions d’euros par an : comment Benoît Wojtenka de Bonne Gueule a fait


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Transcription texte de l’interview

Olivier Roland : Il a démarré comme stagiaire aux Assedics, vendeur de carrelage à Leroy Merlin.

Benoit Wojtenka : J’ai travaillé chez Leroy Merlin au monde Sol. Donc, toute la journée, j’étais vendeur pour du carrelage, du parquet, etc.

Olivier Roland : Et même nettoyeur de poubelles.

Benoit Wojtenka : J’ai travaillé pour le père d’un ami où je nettoyais les poubelles et les cages d’escalier d’HLM.

Olivier Roland : A la fin de ses études, il se retrouve dans un stage de consulting où il ne comprend littéralement rien.

Benoit Wojtenka : Je suis arrivé, le boss a fait une réunion où il a expliqué une réorganisation des équipes, je n’ai rien compris à ce qu’il racontait, mais rien de rien.

Olivier Roland : Et pourtant, Benoit fait aujourd’hui plus de 8 millions d’euros par an de ventes. Et en termes de chiffre d’affaires ?

Benoit Wojtenka : En 2019, on a fait… je vais le dire hors taxe, je sais que tu veux tellement que je dise TTC, mais je n’ai pas le… En 2019, on a fait 8,3 millions, le Covid a été un peu dur, on a fait 7 millions hors taxe en 2020, mais là, on fait une belle reprise.

Olivier Roland : Avec une entreprise florissante qui a une cinquantaine d’employés, un des blogs les plus visités sur la mode masculine en français et 5 boutiques dans différentes villes françaises. Comment a-t-il fait ? C’est ce que nous allons découvrir dans cette interview.

Benoit Wojtenka : Je me suis dit « Soit Benoit, soit c’est Bonne Gueule, soit c’est toute l’expérience que tu as vécue avant, à savoir les Assedics, Leroy Merlin, les poubelles ou le consulting ».

Olivier Roland : Nous verrons aussi :

  • Des techniques simples mais peu appliquées pour tirer son épingle du jeu
  • Est-ce que ses études l’ont aidé ou ont été un frein pour devenir entrepreneur
  • Comment affronter ses peurs pour passer à l’action
  • Comment garder la motivation pour avancer quoi qu’il arrive
  • Et bien d’autres choses passionnantes

C’est parti.

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